Prochain concert à l’église

Un concert de MALINCKA c’est d’abord un voyage vocal et polyphonique à travers le monde.
A cappella ou accompagnées (guitare, percussions, flûte traversière…), empruntant des arrangements musicaux à des formations de grande qualité (Barbara Furtuna, Lo cor de la Plana, Evasion, Ando Drom, Chet Nuneta…) ou composant les leurs, elles aiment par dessus tout chanter ces peuples qui vivent avec la culture des chants traditionnels comme moyen de témoignage, de lien et d’expression directe.
Elles ont à cœur de faire vivre avec le plus de sincérité possible la révolte d’un chant de lutte italien autant que la beauté d’une légende mexicaine, l’émotion d’un chant tzigane ou encore la profondeur d’une messe corse…
En somme, ce qui les anime profondément c’est chanter l’humain, ses émotions et ses émois, avec un amour profond pour la musique qui fait naturellement le lien entre elles et le public.

La Performance à six mains, visible à Chandonzet

Après une quinzaine de jours d’ouverture, entre les expositions des sculptures monumentales, les peintures et objets d’art, une autre performance artistique, avec une création et réalisation à six mains par les talentueux “maîtres” de la matière, Isabelle Jacquet, peintre sculptrice, Hubert Landri, bois, métal et Benoît Souverbie, du dessin au métal. Le défi remarquable, totalement imaginaire et improvisé, réalisé sur une semaine de travail a été érigé ce samedi 15 juillet au parc Chandonzet…

Imaginaire et improvisé

L’œuvre pompeusement baptisée “production déraisonnable issue de recherches extravagantes” faite de bois (chêne et hêtre pourpre) et d’acier, haute de 6 m, pesant 3 500 kg, a fait l’admiration des nombreux invités, élus, partenaires et soutiens rassemblés autour de la “bête” et remerciés par le président de CARTel, René Bonhomme… « On a travaillé en immersion locale et totale dans des conditions de cœur, pour sortir un truc pareil… » soulignera Benoît Souverbie.

L’occasion également d’annoncer le concert du 29 juillet, parvis de la mairie, à 21 heures avec le groupe Alkabaya (entrée 10 €. Billetterie tabac-presse Dubart, et HelloAsso). Après le festival Aluna, la troupe sera à Epinouze. « Si elle a ajouté quelques gouttes d’électro dans son moteur, elle conserve l’essentiel de son ADN qui fait que l’on aime ce quatuor et ses compositions solides, ses textes bien ficelés et son énergie hautement communicative… »